Le C.A.P.  -  Centre d'Aide Psychothérapeutique

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    Surfer

 

Historique
L'appel de la mer
Surfer
Psycho-Jeu
Notre dernière prise
Echapper aux manipulations
Gérer son temps
Les saisons de la vie
Survivre à l'épuisement
L'échec
Vaincre les addictions
Baliser l'espace relationnel
Sortir de son îlot de solitude
Le silence
Destination: amour
Dieu-maman, Dieu-papa
La main
Pardon
Rire
Généalogie de Matthieu
La Samaritaine
Homosexualité
Marcher
Les "pourquoi" de Jésus
Elie, le voyage au bout du tunnel
La chaussure en grande pompe
Gérer ses émotions
Le bonheur en psychothérapie
Parcours d'un combattant : Jacob
Le changement en psychothérapie
La Logothérapie
En voyage
Modèle holistique intégratif
Le chercheur d'or

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Le pouvoir des clefs
Notre courbe des étapes du deuil
L'image de Dieu
Le reste : survivants, rescapés, réchappés…
Soucis : déposez –vos …. ou comment vous désencombrer !
Le modèle biblique des deux témoins 
Pacte avec les yeux, veillez avant d’avaler
Notre conception de la santé mentale

  

    
Si vous regardez un surfer, vous vous apercevez que c’est lorsqu’il s’abandonne à la vague et qu’il obéit à un certain rythme qu’il réussit les figures les plus belles et les plus longues.
Par contre, quand il s’accroche à sa propre volonté et qu’il est fâché avec le vent, il est
assuré de tomber, de ne pas exécuter les figures qu’il avait prévues et de sa faire avaler par la vague déferlante.

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Le surfer expérimenté ne cherche plus à imposer, à s’imposer, mais à s’adapter, à se glisser, à se laisser porter. Il sait qu’il peut compter sur sa raison, mais aussi sur son intuition, sur son senti. Pour nous, c’est pareil : quand on surfe au-dessus du compréhensible, et mec du mystère, il faut savoir s’abandonner au rythme de la vague, c’est la seule manière de ne pas perdre l’équilibre et de ne pas se « retrouver le bec dans l’eau » !

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Lorsqu’on s’abandonne, on libère le meilleur de soi. Tout ce qui était contraint s’élance harmonieusement, on s’ouvre à la vie, au parfum des flots. C’est la puissance du dedans, poussée par celle d’en haut, qui va franchir tous les obstacles. Cette forme d’abandon amène l’abondance, l’abondance perpétuelle.

C’est comme si j’ouvrais à nouveau le robinet, pour que s’écoule un petit ruisselet d’énergie : à force de vouloir économiser, le cœur de l’homme est menacé de sécheresse. Plus rien ne le pousse, ne le motive : ni les projets, ni l’aventure, plus rien qui vaille la peine d’être vécu.

Là où il y a abandon, il y a amour; et quand surgit le véritable amour, Dieu n’est pas loin !

Il faut savoir choisir, et puis tout donner, sans se retenir, s’abandonner au courant après s’être assuré de la pureté de la source, se laisser porter par son propre élan, sentir le rythme de la vie, le balancement du projet qui nous dirige vers des mondes inconnus !

Jean-Michel MARTIN

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